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Les systèmes de numération de type additif

 


Les systèmes de numération de type additif, également connus sous le nom de systèmes de numération positionnels additifs, sont des systèmes de représentation des nombres où la valeur d'un chiffre dépend de sa position dans la notation. Dans ces systèmes, les nombres sont formés en ajoutant les valeurs des chiffres individuels en fonction de leur position. Voici deux exemples de systèmes de numération de type additif :

  1. Système de numération romain : Le système de numération romain est l'un des systèmes de numération de type additif les plus célèbres. Il utilise les lettres de l'alphabet latin pour représenter les nombres. Les symboles romains les plus couramment utilisés sont :

    • I : 1
    • V : 5
    • X : 10
    • L : 50
    • C : 100
    • D : 500
    • M : 1000

    Dans ce système, les chiffres sont additionnés pour former un nombre. Par exemple, "IV" représente 4 car on additionne 1 (I) et 5 (V), et "IX" représente 9 car on additionne 1 (I) et 10 (X).

  2. Système de numération égyptien antique : L'ancienne Égypte utilisait un système de numération de type additif pour représenter les nombres. Dans ce système, les nombres étaient écrits en utilisant une combinaison de symboles basés sur les puissances de 10. Les symboles de base étaient :

    • 1 (un bâton vertical)
    • 10 (un trait horizontal)
    • 100 (un nœud)
    • 1000 (une chouette)

    Par exemple, le nombre 347 était représenté par trois traits horizontaux, un nœud et quatre bâtons verticaux (HHHNOII).

Ces systèmes de numération de type additif fonctionnent en attribuant une valeur à chaque chiffre en fonction de sa position dans la notation et en effectuant des additions pour représenter des nombres plus grands. Bien qu'ils soient moins pratiques que le système de numération décimale moderne pour effectuer des calculs, ils ont été largement utilisés dans l'histoire pour diverses cultures et applications.

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