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Article R434-29

Le policier est tenu à l'obligation de neutralité.
Il s'abstient, dans l'exercice de ses fonctions, de toute expression ou manifestation de ses convictions religieuses, politiques ou philosophiques.
Lorsqu'il n'est pas en service, il s'exprime librement dans les limites imposées par le devoir de réserve et par la loyauté à l'égard des institutions de la République.
Dans les mêmes limites, les représentants du personnel bénéficient, dans le cadre de leur mandat, d'une plus grande liberté d'expression.

Les tatouages sont-ils autorisés en gendarmerie ?


Non, ils ne sont pas interdits mais ils ne doivent pas se voir lorsque vous portez la tenue. On vous déconseillera d'en avoir mais ce n'est pas interdit. Il vaut mieux attendre d'être de carrière pour s'en faire un. 

Les tatouages, qu’ils soient permanents ou provisoires, ne sauraient être admis dès lors qu’ils constituent un signe manifeste d’appartenance à une organisation politique, syndicale, confessionnelle ou associative ou s’ils portent atteinte aux valeurs fondamentales de la Nation. 

Il en est de même s’agissant de tout élément, signe ou insigne ostentatoire de même nature qui serait porté par la personne. Les tatouages visibles du public, qui n’entrent pas dans la catégorie précédente, ne doivent pas dénaturer ou compromettre la relation du policier avec les usagers. Le  cas échéant, ce tatouage sera masqué quelle que soit sa tenue, lorsque le policier est en contact avec le public ou lorsqu’il est en tenue d’uniforme. 

Les tatouages sont-ils autorisés dans la police?

Port des tatouages, barbes et moustaches, bijoux ou accessoires de mode par les personnels affectés dans les services de la police nationale : les consignes



Les tatouages, qu’ils soient permanents ou provisoires, ne sauraient être admis dès lors qu’ils constituent un signe manifeste d’appartenance à une organisation politique, syndicale, confessionnelle ou associative ou s’ils portent atteinte aux valeurs fondamentales de la Nation. 

Il en est de même s’agissant de tout élément, signe ou insigne ostentatoire de même nature qui serait porté par la personne. Les tatouages visibles du public, qui n’entrent pas dans la catégorie précédente, ne doivent pas dénaturer ou compromettre la relation du policier avec les usagers. Le  cas échéant, ce tatouage sera masqué quelle que soit sa tenue, lorsque le policier est en contact avec le public ou lorsqu’il est en tenue d’uniforme. 

Face à un tatouage dont la direction d’emploi se demande s’il est susceptible de constituer un manquement à une obligation déontologique, il sera possible de saisir l’IGPN par le biais de la messagerie : igpn-cadre@interieur.gouv.fr. 

Ce service répond pour l’ensemble des directions d’emploi à des consultations juridiques bilatérales. Par ailleurs, la coupe de cheveux, les moustaches ou la barbe doivent demeurer courtes, soignées et entretenues, sans fantaisie, compatibles avec le port des coiffes de service. Ainsi, la coiffure réglementaire pour les fonctionnaires féminines qui ont les cheveux longs est, pour des raisons de sécurité, le chignon. Afin de respecter les exigences de sécurité et la nécessaire étanchéité du matériel prescrite par le fabricant, le port de la barbe ou des favoris ne pourra pas être autorisé lors de l’utilisation des équipements spéciaux de la tenue NRBC, à l’exception des entraînements et exercices. Enfin, le port de bijoux, tels que les anneaux, piercings, pierres précieuses et métaux incrustés, ou implants sous la peau, est interdit, en raison du danger qu’il représente pour le fonctionnaire en cas d’intervention nécessitant l’emploi de la force. 

Vous veillerez qu’à la prise de service l’encadrement veille non seulement à la bonne présentation des fonctionnaires placés sous leur autorité, mais qu’il se montre également vigilant et réactif lorsque, le cas échéant, cette présentation contrevient aux principes déontologiques ou de sécurité. Je vous remercie de bien vouloir assurer la plus large diffusion de la présente instruction. Vous me ferez part des éventuelles difficultés que vous pourriez rencontrer dans sa mise en œuvre.

Fait le 12 janvier 2018. Le préfet, directeur général de la police nationale, E. Morvan


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