QCM d'économie générale concours catégorie B

économie générale

  

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1. La France a pratiqué la politique du "ni-ni" :
   1.   En 1988
   2.   En 1974
   3.   En 1958
2. Qu'est qu'une relance par l'offre?
   
   1.   Subventionner les entreprises
   2.   Relancer la production en réduisant les impôts et les charges sociales
   3.   Relancer la consommation
3. Lorsqu'une banque accorde un crédit à son client on dit qu'il y a création monétaire :
   1.   Vrai
   2.   Faux
4. Milton Friedman est un économiste :
   1.   Monétariste
   2.   Marginaliste
   3.   Neo Keynésien
5. un taux de couverture [(Exportations/Importations)*100] supérieur à 100 signifie :
   1.   Une balance déficitaire
   2.   Une balance commerciale en équilibre
   3.   Une balance excédentaire
6. Pour un entrepreneur rationnel en situation concurrentielle, ce qui domine prioritairement l'incitation à produire c'est :
   
   1.   Le profit
   2.   Le prix de la main d'oeuvre
   3.   Le prix de vente unitaire du bien produit
7. En 1986, le gouvernement Chirac s'est inspiré de l'école de l'Offre
   1.   Faux
   2.   Vrai
8. Quels sont les principaux objectifs de la Banque Centrale Européenne?
   1.   Définir la politique monétaire européenne
   2.   Assurer la stabilité des prix dans la zone Euro pour une croissance durable des économies
   3.   Aucune de ces réponses
9. Lorsque le taux d'intérêt évolue à la hausse le cours des obligations doit-il :
   1.   Monter
   2.   Baisser
   3.   Evoluer de façon indépendante
10. Le salaire d'un employé égal à 1000 euros/mois est majoré de 10%. Pour ramener ce nouveau salaire au niveau initial de 1000 euros on doit le réduire :
    
    1.   Aucune de ces réponses
    2.   De 9,1%
    3.   De 10% exactement
11. En vertu de la théorie des zones monétaires optimales (ZMO) de Mundell en 1961, un pays dont le degré d'ouverture est faible a plutôt intérêt :
    1.   A un régime de changes fixes.
    2.   A un régime de changes flexibles
12. Le taux de croissance du PIB est égal à :
    
    1.   Taux de croissance de la productivité - taux de croissance de l'emploi
    2.   Taux de croissance de la productivité + taux de croissance de l'emploi
    3.   Taux de croissance de la productivité / taux de croissance de l'emploi
13. Le degré d'ouverture d'une économie au sens de Mc Kinnon est mesurée par :
    1.   Le rapport [(Exportations Importations)/2]/PIB en pourcentage
    2.   Le rapport (Importations/Exportations)*100
    3.   Le rapport (Exportations/Importations)*100
14. En vertu des critères de Maastricht, aucun pays de l'Union économique et monétaire ne doit :
    
    1.   Dépasser le seuil strict de 3% de déficit public rapporté au PIB
    2.   Dépasser le seuil strict de 3% de déficit public rapporté au PIB à moins d'avoir produit en tendance de réels efforts budgétaires.
    3.   Dépasser le seuil impératif des 3,5% de déficit public rapporté au PIB
15. Le secteur des administrations publiques regroupe :
    
    1.   L'Etat central, les grandes entreprises nationales et les collectivités locales
    2.   L'Etat central et les collectivités locales
    3.   L'Etat central, les organismes de sécurité sociale et les collectivités locales
16. Qui est le père du raisonnement "les produits offrent des débouchés aux produits"
    1.   Léon Walras
    2.   Jean-Baptiste Say
    3.   David Ricardo
17. Pour l'analyse néoclassique, un salarié doit être rémunéré à raison d'un salaire réel (salaire nominal rapporté aux prix) :
    1.   égal à sa productivité marginale
    2.   inférieur à sa productivité marginale.
    3.   supérieur à sa productivité marginale
18. En concurrence pure et parfaite le prix du marché :
    1.   Est égal au coût marginal de l'entrepreneur
    2.   Est inférieur au coût marginal de l'entrepreneur.
    3.   Est supérieur au coût marginal de l'entrepreneur
19. La relation de Phillips (1958) montre que dans le temps :
    1.   Inflation et chômage évoluent dans le même sens.
    2.   Inflation et chômage évoluent en raison inverse
    3.   Il n'y a pas de lien entre les deux phénomènes
20. Un pays développé dont la balance commerciale est déficitaire en matières premières est a priori :
    1.   un pays dont l'activité est ralentie
    2.   un pays dont l'activité est soutenue
21. Pour Keynes la clé du retour au plein emploi c'est :
    1.   Favoriser l'épargne
    2.   Relancer la consommation
    3.   Relancer la production
22. Pour Marx le fondement de la richesse c'est :
    1.   Le travail
    2.   L'utilité
    3.   L'accumulation
23. Sur un marché concurrenciel, lorsque l'offre excède la demande :
    
    1.   Les prix montent
    2.   Les prix baissent
    3.   Les prix stagnent
24. La croissance économique est mesurée par :
    1.   Le taux de croissance de la production industrielle
    2.   Le taux de croissance du PIB en francs courants
    3.   Le taux de croissance du PIB en volume
25. un coefficient d'élasticité mesure :
    1.   La vitesse d'évolution d'un phénomène économique dans le temps
    2.   Les variations erratiques de la production dans le temps
    3.   L'impact du taux de croissance de 1% d'une variable économique sur une autre variable économique (en taux de croissance aussi)
26. Le 15 Août 1971 la déclaration de R. Nixon aura des répercutions mondiales marquant :
    1.   les réponses 1,2 et 3.
    2.   La fin d'un système de changes fixes au plan international
    3.   La fin du Système de Bretton Woods né en 1944.
    4.   La fin de la convertibilité or du Dollar
27. Pour une demande de consommation normale, l'élasticité-prix de la demande doit avoir un coefficient
    
    1.   Négatif
    2.   Nul
    3.   Positif
28. En 1981 le gouvernement Mauroy a procédé à une relance keynésienne
    1.   faux
    2.   Vrai
29. Pour les théoriciens de l'école des "Choix Publics" le gouvernement est à l'approche des élections plus préoccupé par le maintien au pouvoir que par la gestion pure de l'économie.
    1.   Faux
    2.   vrai
30. Pour un consommateur individuel, lorsque son utilité totale s'accroît son utilité marginale :
    1.   On ne peut pas savoir
    2.   Décroît
    3.   Croît également
31. Pour les économistes néoclassiques le partage du temps de travail n'est possible que si l'économie dégage des gains de productivité.
    1.   Vrai
    2.   faux
32. Une politique crédible et sans renoncements réduit les coûts en termes de chômage de toute politique de désinflation.
    1.   faux
    2.   Vrai
33. Le prix d'un produit a augmenté de 10% la première année puis de 15% l'année suivante. De combien le prix a-t-il augmenté sur l'ensemble des deux années?
    1.   25%
    2.   24,8%
    3.   26,5%
34. Le taux de prélèvements publics obligatoires est ce sont :
    1.   Les impôts directs et indirects plus les prélèvements sociaux rapportés au PIB
    2.   Les impôts directs et indirects rapportés au PIB
    3.   Les impôts directs rapportés au PIB
35. A qui doit-on la première analyse de la valeur travail?
    1.   Ricardo
    2.   Marx
    3.   Mill
36. Un entrepreneur individuel appartient au secteur institutionnel :
    1.   Des ménages
    2.   Des sociétés et quasi sociétés non financières
    3.   Des petites et moyennes entreprises
37. Le chômage keynésien c'est :
    1.   Un excès de demande sur le marché des biens et services et un excès d'offre sur le marché du travail (cas classique )
    2.   Un excès de demande sur les deux marchés (modèle dit d'inflation réprimée)
    3.   Un excès d'offre sur le marché des biens et services et un excès d'offre sur le marché dutravail
38. Les OPCVM (organismes de placement collectif en valeurs mobilières) sont :
    1.   Des fonds communs de placement (FCP)
    2.   Des sociétés d'investissement à capital variable (SICAV) et des fonds communs de placement
    3.   Des sociétés d'investissement
39. Que signifie le sigle CAC sur la place boursière de Paris?
    
    1.   Cotation assistée en continu
    2.   Chambre à compensation
    3.   Cotation à court terme
40. En comptabilité nationale, la rémunération des salariés englobe :
    1.   Les salaires et traitements bruts
    2.   les salaires et rémunérations nettes
    3.   Les salaires et traitements bruts ainsi que les cotisations sociales employeurs