ECONOMIE GENERALE
- Le secteur des administrations publiques regroupe :
- L'Etat central, les grandes entreprises nationales et les collectivités locales
- L'Etat central, les organismes de sécurité sociale et les collectivités locales
- L'Etat central et les collectivités locales
- Un entrepreneur individuel appartient au secteur institutionnel :
- Des sociétés et quasi sociétés non financières
- Des ménages
- Des petites et moyennes entreprises
- Lorsque l'on parle de production non-marchande il s'agit :
- De l'activité liée à l'économie souterraine
- Des services fournis gratuitement ou quasi gratuitement à la collectivité
- Des biens et services vendus à un prix supérieur ou égal à celui du marché.
- En comptabilité nationale, la rémunération des salariés englobe :
- Les salaires et traitements bruts
- les salaires et rémunérations nettes
- Les salaires et traitements bruts ainsi que les cotisations sociales employeurs
- Le PIB mesure la richesse nationale. Il s'agit :
- De la production des agents nationaux qu'ils résident ou non sur le territoire national.
De la production marchande et non marchande des résidents français. - De la somme des valeurs ajoutées brutes + la TVA + les droits de douane - les subventions à l'importation.
- De la production des agents nationaux qu'ils résident ou non sur le territoire national.
- La croissance économique est mesurée par :
- Le taux de croissance du PIB en francs courants
- Le taux de croissance du PIB en volume
- Le taux de croissance de la production industrielle
- Le prix d'un produit a augmenté de 10% la première année puis de 15% l'année suivante. De combien le prix a-t-il augmenté sur l'ensemble des deux années?
- 25%
- 26,5%
- 24,8%
- Le salaire d'un employé égal à 1000 euros/mois est majoré de 10%. Pour ramener ce nouveau salaire au niveau initial de 1000 euros on doit le réduire :
- De 9,1%
- De 10% exactement
- Aucune de ces réponses
- Pour un consommateur individuel, lorsque son utilité totale s'accroît son utilité marginale :
- Croît également
- Décroît
- On ne peut pas savoir
- Pour l'analyse néoclassique, un salarié doit être rémunéré à raison d'un salaire réel (salaire nominal rapporté aux prix) :
- supérieur à sa productivité marginale
- égal à sa productivité marginale
- inférieur à sa productivité marginale.
- Sur un marché concurrenciel, lorsque l'offre excède la demande :
- Les prix montent
- Les prix baissent
- Les prix stagnent
- Pour un entrepreneur rationnel en situation concurrentielle, ce qui domine prioritairement l'incitation à produire c'est :
- Le prix de vente unitaire du bien produit
- Le profit
- Le prix de la main d'oeuvre
- En concurrence pure et parfaite le prix du marché :
- Est égal au coût marginal de l'entrepreneur
- Est supérieur au coût marginal de l'entrepreneur
- Est inférieur au coût marginal de l'entrepreneur.
- un coefficient d'élasticité mesure :
- L'impact du taux de croissance de 1% d'une variable économique sur une autre variable économique (en taux de croissance aussi)
- Les variations erratiques de la production dans le temps
- La vitesse d'évolution d'un phénomène économique dans le temps
- Pour une demande de consommation normale, l'élasticité-prix de la demande doit avoir un coefficient
- Positif
- Négatif
- Nul
- Pour Keynes la clé du retour au plein emploi c'est :
- Relancer la production
- Relancer la consommation
- Favoriser l'épargne
- Qui est le père du raisonnement "les produits offrent des débouchés aux produits"
- Léon Walras
- David Ricardo
- Jean-Baptiste Say
- Qu'est qu'une relance par l'offre?
- Relancer la production en réduisant les impôts et les charges sociales
- Relancer la consommation
- Subventionner les entreprises
- A qui doit-on la première analyse de la valeur travail?
- Marx
- Ricardo
- Mill
- Pour Marx le fondement de la richesse c'est :
- L'accumulation
- L'utilité
- Le travail
- Milton Friedman est un économiste :
- Monétariste
- Neo Keynésien
- Marginaliste
- Le chômage keynésien c'est :
- Un excès de demande sur le marché des biens et services et un excès d'offre sur le marché du travail (cas classique )
- Un excès d'offre sur le marché des biens et services et un excès d'offre sur le marché dutravail
- Un excès de demande sur les deux marchés (modèle dit d'inflation réprimée)
- Le taux de croissance du PIB est égal à :
- Taux de croissance de la productivité + taux de croissance de l'emploi
- Taux de croissance de la productivité - taux de croissance de l'emploi
- Taux de croissance de la productivité / taux de croissance de l'emploi
- Le taux de prélèvements publics obligatoires est ce sont :
- Les impôts directs et indirects rapportés au PIB
- Les impôts directs rapportés au PIB
- Les impôts directs et indirects plus les prélèvements sociaux rapportés au PIB
- La relation de Phillips (1958) montre que dans le temps :
- Inflation et chômage évoluent en raison inverse
- Inflation et chômage évoluent dans le même sens.
- Il n'y a pas de lien entre les deux phénomènes
- En 1981 le gouvernement Mauroy a procédé à une relance keynésienne
- Vrai
- faux
- En 1986, le gouvernement Chirac s'est inspiré de l'école de l'Offre
- Vrai
- Faux
- Pour les théoriciens de l'école des "Choix Publics" le gouvernement est à l'approche des élections plus préoccupé par le maintien au pouvoir que par la gestion pure de l'économie.
- vrai
- Faux
- Une politique crédible et sans renoncements réduit les coûts en termes de chômage de toute politique de désinflation.
- Vrai
- faux
- Pour les économistes néoclassiques le partage du temps de travail n'est possible que si l'économie dégage des gains de productivité.
- Vrai
- faux
- La France a pratiqué la politique du "ni-ni" :
- En 1974
- En 1958
- En 1988
- Lorsque le taux d'intérêt évolue à la hausse le cours des obligations doit-il :
- Monter
- Baisser
- Evoluer de façon indépendante
- Lorsqu'une banque accorde un crédit à son client on dit qu'il y a création monétaire :
- Vrai
- Faux
- Le remboursement du crédit par le client peut-il être assimilé à une destruction de monnaie :
- Oui
- Non
- Les OPCVM (organismes de placement collectif en valeurs mobilières) sont :
- Des sociétés d'investissement
- Des fonds communs de placement (FCP)
- Des sociétés d'investissement à capital variable (SICAV) et des fonds communs de placement
- Que signifie le sigle CAC sur la place boursière de Paris?
- Cotation à court terme
- Chambre à compensation
- Cotation assistée en continu
- Le degré d'ouverture d'une économie au sens de Mc Kinnon est mesurée par :
- Le rapport (Importations/Exportations)*100
- Le rapport (Exportations/Importations)*100
- Le rapport [(Exportations Importations)/2]/PIB en pourcentage
- En vertu de la théorie des zones monétaires optimales (ZMO) de Mundell en 1961, un pays dont le degré d'ouverture est faible a plutôt intérêt :
- A un régime de changes flexibles
- A un régime de changes fixes.
- un taux de couverture [(Exportations/Importations)*100] supérieur à 100 signifie :
- Une balance commerciale en équilibre
- Une balance excédentaire
- Une balance déficitaire
- Le 15 Août 1971 la déclaration de R. Nixon aura des répercutions mondiales marquant :
- La fin de la convertibilité or du Dollar
- La fin d'un système de changes fixes au plan international
- La fin du Système de Bretton Woods né en 1944.
- les réponses 1,2 et 3.
- En vertu des critères de Maastricht, aucun pays de l'Union économique et monétaire ne doit :
- Dépasser le seuil strict de 3% de déficit public rapporté au PIB
- Dépasser le seuil impératif des 3,5% de déficit public rapporté au PIB
- Dépasser le seuil strict de 3% de déficit public rapporté au PIB à moins d'avoir produit en tendance de réels efforts budgétaires.
- Quels sont les principaux objectifs de la Banque Centrale Européenne?
- Définir la politique monétaire européenne
- Assurer la stabilité des prix dans la zone Euro pour une croissance durable des économies
- Aucune de ces réponses
- Un pays développé dont la balance commerciale est déficitaire en matières premières est a priori :
- un pays dont l'activité est ralentie
- un pays dont l'activité est soutenue