QCM Le système nerveux

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1. La moelle épinière :
   1. La moelle épinière fait partie du système nerveux central.
   2. Son diamètre est de 10 cm.
   3. Elle est aplatie transversalement.
   4. Elle présente six sillons et trois cordons sur une coupe horizontale.
   5. En ventral, on trouve le sillon médian.
2. La moelle épinière :
   1. Elle possède, entre autres, deux sillons latéraux ventraux et deux sillons latéraux dorsaux.
   2. La fissure médiane et le sillon médian sont impairs.
   3. La moelle épinière entre dans la composition de l’encéphale.
   4. Comme dans le cerveau, la substance grise est périphérique
   5. La fissure médiane est ventrale.
3. La moelle épinière :
   1. Au centre de la substance grise on trouve une cavité virtuelle : le canal central.
   2. Les cornes ventrales de la substance grise sont moins trapues que les cornes dorsales.
   3. A l’inverse des cornes ventrales, les cornes dorsales atteignent la circonférence de la moelle épinière.
   4. Le canal central est un résidu de la lumière du tube neural embryologique.
   5. Le système nerveux central dérive de la couche ectoblastique qui a formé la gouttière puis
      le tube neural en se repliant.
4. La moelle épinière :
   1. Le cordon dorsal est divisé par le septum médian qui prolonge le sillon médian.
   2. La partie ventro-périphérique de la substance grise correspond à la partie viscéro-motrice de la moelle épinière.
   3. Le cordon ventral est situé entre les sillons latéraux dorsaux.
   4. Les cornes dorsales reçoivent les informations sensitives.
   5. Un cordon latéral se situe entre deux sillons latéraux.
5. La moelle épinière :
   1. Le SNCS et le SNOV sont tous deux présents dans la moelle épinière.
   2. Le SNOV est situé dans la partie médullaire proche du canal central.
   3. La partie ventrale de la substance grise correspondant au SNOV est dite viscéro-sensitive.
   4. La moelle épinière donne naissance à 21 paires de nerfs spinaux.
   5. De l’os occipital aux vertèbres lombaires (comprises) il y a 24 vertèbres et 24 paires de
      nerfs spinaux.
6. La moelle épinière :
   1. La racine motrice des nerfs sort de la moelle épinière par le sillon latéral dorsal.
   2. Le renflement de la racine dorsale correspond au ganglion du SNOV.
   3. On peut diviser la moelle épinière en 31 myélomères.
   4. Chaque myélomère contient au moins un arc réflexe (myotatique) et est en rapport avec un segment de muscle (myotome), de peau (dermatome) et de viscère (viscérotome).
   5. Il existe 5 paires de nerfs sacrés et 5 paires de nerfs coccygiens.
7. La moelle épinière :
   1. Elle se termine au niveau de S2.
   2. Les nerfs ont une direction de plus en plus horizontale de crânial en caudal.
   3. La moelle épinière subit une ascension apparente pendant l’enfance car elle croît moins vite en longueur que le rachis.
   4. En dessous de L2 on ne trouve plus de nerfs.
   5. Le filum terminal contient du tissu nerveux et fibreux.
8. La moelle épinière :
   1. Un myélomère comporte un dermatome, un myotome et un viscérotome.
   2. Le premier nerf cervical sort au dessus de la vertèbre C1.
   3. La queue de cheval comporte des éléments nerveux et le filum terminal.
   4. Le premier nerf thoracique sort en dessous de T1.
   5. La pie-mère et l’arachnoïde sont des pachy-méninges.
9. La moelle épinière :
   1. Les racines sensitives des nerfs empruntent le sillon latéral dorsal.
   2. De la moelle épinière à la paroi osseuse crânienne, on trouve : dure-mère, arachnoïde et pie-mère.
   3. Il existe un espace entre arachnoïde et pie-mère qui est occupé par le Liquide Céphalo-Rachidien (LCR).
   4. La pie-mère s’interrompt avec la moelle épinière au niveau de L2.
   5. La dure-mère est la seule méninge à se terminer en S2.
10. La moelle épinière :
    1. Les ponctions de LCR s’effectuent en caudal de L2.
    2. L’anesthésie péridurale se réalise entre la dure-mère et l’os.
    3. L’espace entre arachnoïde et dure-mère est réel.
    4. La dure-mère est la seule pachy-méninge.
    5. Les myélomères sacrés se trouvent au niveau de L2.
11. Le tronc cérébral :
    1. Il fait partie de l’encéphale.
    2. C’est la pièce qui connecte le cerveau et le cervelet à la moelle épinière.
    3. En vue ventrale on distingue trois pièces de crânial en caudal : la moelle allongée, le pont et les pédoncules cérébraux.
    4. La moelle allongée présente une ressemblance anatomique avec la moelle épinière.
    5. Les olives sont situées dans les cordons ventraux.
12. Le tronc cérébral :
    1. Le pont présente une face dorsale marquée par les gouttières basilaires.
    2. L’espace perforé postérieur est visible sur une vue dorsale du tronc cérébral.
    3. Le pont correspond au métencéphale.
    4. Le tronc cérébral est limité en crânial par le tractus optique.
    5. Le tronc cérébral est oblique en bas et en avant.
13. Le tronc cérébral :
    1. Les cordons ventraux de la moelle allongée sont appelés pyramides bulbaires.
    2. L’espace perforé postérieur se situe entre les pédoncules cérébraux.
    3. Les colluculi crâniaux sont des relais des voies auditives.
    4. De crânial en caudal les trois pièces embryologiques du tronc cérébral sont : le mésencéphale, le métencéphale et le myélencéphale.
    5. Les olives sont situées dans les cordons latéraux.
14. La structure de l’encéphale :
    1. L’encéphale provient de trois structures embryologiques : le prosencéphale, le mésencéphale et rhombencéphale qui se sont chacune divisée en deux.
    2. L’encéphale comprend le cerveau, le cervelet et le tronc cérébral.
    3. Le rhombencéphale se différencie en télencéphale et diencéphale.
    4. Le cervelet, comme le pont, est issu du métencéphale.
    5. Le cervelet est rattaché au tronc cérébral par trois paires de pédoncules cérébraux.
15. Le tronc cérébral :
    1. Le sillon rétro-olivaire se confond avec le sillon latéral-dorsal.
    2. A cause de son propre poids, la face ventrale du pont comporte des gouttières basilaires.
    3. Le pont est séparé des deux autres pièces par deux sillons.
    4. Le sillon pré-olivaire est situé a distance du sillon latéral-ventral.
    5. L’olive est plus proche du sillon latéral-ventral que du sillon latéral-dorsal.
16. Le tronc cérébral :
    1. Les colluculi caudaux sont des relais des voies auditives.
    2. Les pédoncules cérébelleux supérieurs et moyens limitent le 4ème ventricule.
    3. Les pédoncules cérébelleux supérieurs relient le cervelet avec le mésencéphale, les moyens font la liaison avec le métencéphale et les inférieurs la liaison avec le myélencéphale.
    4. Le 4ème ventricule est visible sur une vue ventrale du tronc cérébral.
    5. Le pont n’a pas de face dorsale.
17. Le tronc cérébral :
    1. En vue dorsale, le cordon dorsal de la moelle allongée se clive en deux dans sa partie crâniale.
    2. Embryologiquement, c’est la face dorsale du pont qui donne le cervelet.
    3. Les ventricules sont des cavités présentes dans chaque partie de l’encéphale.
    4. Le 4ème ventricule se trouve au niveau du myélencéphale et du métencéphale. Il est donc dit ventricule rhombencéphalique.
    5. Le 4ème ventricule communique avec le 3ème par l’aqueduc du mésencéphale.
18. Le tronc cérébral :
    1. Le tronc cérébral possède une fonction segmentaire et supra-segmentaire.
    2. La fonction segmentaire correspond à l’émergence des nerfs crâniens.
    3. La substance grise est périphérique comme au niveau du cervelet.
    4. Une des fonctions supra-segmentaires correspond à la formation réticulaire responsable de l’éveil.
    5. Les pédoncules cérébelleux inférieurs relient le cervelet à la moelle allongée.
19. Le tronc cérébral :
    1. Les colluculi crâniaux sont des relais des voies optiques.
    2. Le prosencéphale se différencie en télencéphale et diencéphale.
    3. L’espace perforé postérieur est visible sur une vue ventrale.
    4. Les pédoncules cérébelleux inférieurs relient le cervelet et le pont.
    5. Les pédoncules cérébelleux moyens limitent le 4ème ventricule.
20. Le tronc cérébral :
    1. La substance grise est centrale.
    2. Sa lésion (notamment au niveau de la formation réticulaire) peut provoquer un coma.
    3. L’olive est plus proche du sillon latéral-ventral.
    4. Le mésencéphale est limité en caudal par les voies optiques.
    5. Le tronc cérébral est oblique en haut et en avant.
21. Le cervelet :
    1. Il est constitué de deux hémisphères séparés par le vermis.
    2. Le vermis est horizontal. De plus, il existe un sillon vertical qui divise les hémisphères cérébelleux.
    3. Les hémisphères portent le nodulus, le vermis porte les flocculus et les tonsiles.
    4. La substance grise est périphérique comme dans le cerveau.
    5. Le paléo-cervelet est responsable de l’équilibre.
22. Le cervelet :
    1. Il est situé dans la fosse cérébrale postérieure.
    2. On trouve de médial en latéral les noyaux : fastigial, lenticulaire et denté.
    3. Le noyau denté participe à la coordination des mouvements (néocervelet).
    4. Les trois cervelets (archéo-, paléo- et néo-) ont tous une partie du vermis, du cortex et un
       noyau central.
    5. Le noyau fastigial participe à l’équilibre (archéo-cervelet).
23. Le cervelet :
    1. Le noyau interposé est composé du globulus en latéral et de l’embolus en médial.
    2. Le noyau interposé contrôle le tonus (paléo-cervelet).
    3. La tente du cervelet est une formation de dure-mère verticale.
    4. Le foramen magnum donne passage au tronc cérébral.
    5. Il n’y a pas d’espace péri-dural dans le crâne.
24. Le cervelet :
    1. La grande circonférence de la tente du cervelet s’insère sur les processus clinoïdes postérieurs.
    2. La tente du cervelet laisse une ouverture pour le tronc cérébral : le foramen ovale.
    3. Le foramen ovale s’appelle aussi foramen magnum.
    4. De latéral en médial on trouve les noyaux : denté, fastigial et interposé.
    5. Le vermis porte le nodulus.
25. Le cervelet :
    1. Le sillon horizontal divise chaque hémisphère en deux parties supérieure et inférieure.
    2. La petite circonférence de la tente s’insère sur les processus clinoïdes antérieurs.
    3. La tente du cervelet laisse un espace à concavité ventrale qui donne passage au mésencéphale.
    4. Le foramen ovale donne passage à la moelle épinière.
    5. Le néo-cervelet participe au contrôle de la motricité volontaire.
26. Le cerveau :
    1. Il correspond à la différenciation du prosencéphale c’est-à-dire le télencéphale et le diencéphale.
    2. Le diencéphale est enroulé autour du télencéphale.
    3. Le sillon longitudinal sépare le diencéphale du télencéphale.
    4. La substance grise périphérique est composée de 6 couches de neurones.
    5. Le corps calleux se situe dans le fond de la fissure transverse.
27. Le cerveau :
    1. Le seul point de continuité entre télencéphale et diencéphale est ventral.
    2. Le corps calleux contient des corps neuronaux.
    3. L’intelligence est avant tout proportionnelle au poids du cerveau.
    4. Les sillons secondaires délimitent des lobes.
    5. Les sillons tertiaires sont très conservés même entre les différentes espèces.
28. Le cerveau :
    1. La partie antérieure de la face inférieure du cerveau est horizontale alors qu’elle est
       oblique en bas et en dehors dans sa partie postérieure.
    2. Il possède cinq sillons primaires et six lobes.
    3. Trois sillons sont visibles sur une vue latérale : sillons cingulaire, pariéto-occipital et
       calcarin.
    4. Le sillon latéral délimite les lobes frontal et pariétal.
    5. La fissure longitudinale sépare les deux hémisphères cérébraux.
29. Le cerveau :
    1. Sur la face latérale on trouve les sillons latéral et central.
    2. Le lobe de l’insula se situe dans le fond du sillon central.
    3. Le sillon central sépare les lobes frontal et pariétal.
    4. Tous les sillons primaires délimitent des lobes.
    5. Le noyau interposé est composé du globus pallidus en médial et du putamen en latéral.
30. Les noyaux du cerveau :
    1. On trouve de médial en latéral le thalamus, le noyau caudé, le noyau lenticulaire et le claustrum.
    2. Le télencéphale est plutôt périphérique par rapport au diencéphale.
    3. Sur une coupe frontale (dite de Charcot) le ventricule latéral et le noyau caudé sont sectionnés à deux reprises
    4. Le noyau caudé appartient au diencéphale.
    5. Le putamen fait partie du diencéphale.
31. Le cerveau :
    1. Le noyau lenticulaire appartient totalement au télencéphale.
    2. Le thalamus appartient au diencéphale alors que le claustrum fait partie du télencéphale.
    3. Le lobe de l’insula est médial par rapport au claustrum.
    4. Le sillon latéral sépare le lobe frontal du lobe temporal.
    5. Le 3ème ventricule est situé en médial du thalamus.
32. Le cerveau :
    1. Le corps calleux est plus crânial que tous les noyaux.
    2. Le noyau caudé est en médial du ventricule latéral.
    3. Sur une coupe frontale, la substance blanche en crânial des noyaux est correspond au centre semi-ovale.
    4. Les deux ventricules latéraux communiquent entre eux par le foramen inter-ventriculaire.
    5. Le 3ème ventricule est le ventricule du diencéphale.
33. Le cerveau :
    1. Un ventricule latéral comporte trois cornes : antérieure, postérieure et supérieure.
    2. L’aqueduc du mésencéphale fait communiquer le 4ème ventricule avec les ventricules latéraux.
    3. Le sillon calcarin ne délimite pas de lobe.
    4. La capsule externe passe entre le claustrum et le lobe de l’insula.
    5. La capsule interne se situe entre le noyau lenticulaire (en médial) et le thalamus (en latéral).
34. Le cerveau :
    1. Les ventricules latéraux appartiennent au télencéphale.
    2. La capsule extrême est située entre le claustrum et le lobe de l’insula.
    3. Le foramen inter-ventriculaire fait communiquer le ventricule latéral avec le 3ème ventricule.
    4. Le sillon cingulaire délimite le lobe cingulaire.
    5. Le cortex cérébral comporte 3 couches de neurones.
35. Le cerveau :
    1. Le corps calleux se situe dans le fond de la fissure transverse.
    2. Sur une vue latérale, on peut observer les sillons central et latéral.
    3. Le diencéphale communique avec le télencéphale en dorsal.
    4. Les nombreux replis du cerveau viennent du fait qu’il s’est développé dans une boite inextensible.
    5. Il dérive du prosencéphale et du mésencéphale.
36. Le cerveau :
    1. Le gyrus pré-central est somato-sensitif.
    2. De part et d’autre du sillon calcarin se trouve l’aire visuelle.
    3. L’aire auditive primaire se situe dans l’uncus.
    4. Le gyrus post-central est somato-moteur.
    5. L’uncus se situe à la face médiale du lobe temporal.
37. Le cerveau :
    1. L’aire auditive primaire se trouve en crânial du sillon latéral.
    2. Toutes les aires sont visibles sur une vue latérale du cerveau.
    3. L’aire olfactive se situe dans l’uncus.
    4. Le gyrus pré-central est moteur alors que le gyrus post-central est sensitif.
    5. En somatotopie, la partie médiale du gyrus pré-central correspond à la tête.
38. Le cerveau :
    1. En somatotopie, la représentation motrice de la tête se situe au niveau de la partie caudale du gyrus pré-central.
    2. L’aire motrice primaire se situe dans le gyrus pré-central.
    3. L’aire auditive primaire n’est pas visible sur une vue médiane.
    4. La faux du cerveau est une expansion sagittale de dure-mère.
    5. La faux du cerveau passe par la fissure transverse.
39. Les aires du langage :
    1. Elles sont situées dans l’hémisphère gauche.
    2. L’aire de Wernicke est celle de l’élaboration de la parole.
    3. L’aire de Broca est située en dorsal de l’aire de Wernicke.
    4. L’aire de la lecture est proche de l’aire visuelle. L’aire de l’écriture est proche du gyrus pré-central.
    5. Si l’aire de Broca est atteinte le sujet comprend ce qu’on lui dit mais ne peut s’exprimer
       correctement.
40. Le cerveau :
    1. Les sillons primaires sont très proches entre les espèces.
    2. Si l’aire de Wernicke est atteinte, alors le sujet ne comprend plus ce qu’on lui dit.
    3. La capsule externe se situe entre noyau lenticulaire et claustrum.
    4. Le lobe de l’insula se situe dans de fond du sillon central.
    5. Le centre semi-ovale est formé de la substance blanche.
41. Le système nerveux périphérique :
    
    1. Il comporte de la substance blanche et de la substance grise.
    2. Il correspond aux 12 paires de nerfs spinaux et 31 paires de nerfs crâniens.
    3. Les nerfs spinaux naissent du tronc cérébral.
    4. On dénombre 7 paires de nerfs cervicaux.
    5. Les 7 premières paires de nerfs cervicaux sortent au dessus de la vertèbre correspondante
       (ayant le même numéro) alors que les nerfs thoraciques et lombaires sortent en dessous de la vertèbre correspondante.
42. Le système nerveux périphérique :
    1. Il y a 12 paires de nerfs sacrés et 5 paires de nerfs coccygiens.
    2. Les nerfs spinaux de C5 à T1 correspondent au plexus brachial.
    3. Les nerfs spinaux sortent par le foramen vertébral.
    4. La 5ème paire de nerfs sacrés et la paire de nerfs coccygiens sortent toutes deux par le hiatus sacré.
    5. Les paires de nerfs spinaux C1 à C4 correspondent au plexus cervical alors que celles L1 à
       L4 correspondent au plexus lombaire.
43. Le système nerveux périphérique :
    1. Il comporte cinq plexus.
    2. Les nerfs deviennent de plus en plus horizontaux de crânial en caudal.
    3. La branche dorsale est sensitive.
    4. Ce sont les branches dorsales des nerfs spinaux qui constituent les plexus.
    5. Les paires de nerfs spinaux L5 à S5 constituent le plexus lombo-sacré.
44. Le système nerveux périphérique :
    
    1. La 8ème paire de nerfs cervicaux sort en dessous de T1.
    2. Les paires de nerfs spinaux S4, S5 et C1 constituent le plexus sacro-coccygien.
    3. Les branches ventrale et dorsale naissent de la division du nerf spinal lui-même formé par la réunion des racines ventrales et dorsales.
    4. Les racines sont mixtes : elles sont à la fois motrices et sensitives.
    5. Les ganglions végétatifs appartiennent au système nerveux périphérique.
45. Le système nerveux périphérique :
    1. Dans le ganglion végétatif le nerf rentre non myélinisé et en sort myélinisé.
    2. Le rameau communicant blanc est post-ganglionnaire.
    3. Les nerfs olfactif et optique sont des nerfs crâniens qui naissent du cerveau.
    4. La 1ère paire de nerfs crâniens correspond au nerf optique.
    5. La 5ème paire de nerfs crâniens est motrice pour la mastication mais aussi sensitive. C’est
       le nerf trijumeau.
46. Les nerfs crâniens :
    1. Le IV est le seul à naître de la face dorsale du tronc cérébral.
    2. Le V est le seul à naître du pont proprement dit (hors sillons).
    3. Le II naît entre les pédoncules cérébraux.
    4. Le XI naît en ventral de l’olive.
    5. Le IV est moteur pur.
47. Les nerfs crâniens :
    1. Les IX, X et XI naissent du sillon médullo-pontique.
    2. Comme son nom l’indique, le III est moteur pur.
    3. Le VII est le nerf facial. Il est moteur pur et permet la mimique.
    4. Les VI, VII et VIII naissent de la moelle allongée.
    5. Le XII est le nerf accessoire qui est moteur pur.
48. Les nerfs crâniens :
    1. La stimulation du nerf oculo-moteur (III) entraîne un myosis.
    2. Le IV innerve le muscle oblique inférieur de l’oeil.
    3. Le VI est le nerf abducens. Il est moteur pur et innerve le muscle droit latéral de l’oeil.
    4. Le nerf qui naît de la face dorsale du tronc cérébral est moteur pur.
    5. Le III innerve les muscles droit supérieur, droit inférieur, droit médial et oblique inférieur
       de l’oeil.
49. Les nerfs crâniens :
    1. Le VII bis est le nerf intermédiaire. Il est sensoriel pour le 1/3 postérieur de la langue.
    2. Le X ou nerf vague a un contingent végétatif très important pour tout le corps.
    3. Le nerf glosso-pharyngien est moteur et sensitif pour le larynx.
    4. Le VIII est le nerf cochléo-vestibulaire.
    5. Le VII bis n’a pas de contingent végétatif.
50. Les nerfs crâniens :
    1. Le tiers postérieur de la langue a son innervation sensorielle réalisée par le nerf glossopharyngien.
    2. Le larynx est innervé par le X.
    3. Le VIII gère l’équilibre et l’audition.
    4. Le XI est mixte car il reçoit des branches végétatives du nerf vague et de la moelle épinière.
    5. Le XII est le nerf cochléo-vestibulaire.
51. Le système nerveux organo-végétatif :
    1. Il est formé de deux contingents : orthosympathique et parasympathique.
    2. La chaîne ganglionnaire orthosympathique est proche des viscères (latéro-viscérale).
    3. Le neurone pré-ganglionnaire est myélinisé donc blanc.
    4. Le premier neurone parasympathique est long.
    5. Les branches des nerfs spinaux ont un contingent viscéral et somatique.
52. Le système nerveux organo-végétatif :
    1. Les nerfs splanchniques réalisent l’innervation viscérale du tube digestif.
    2. Le centre orthosympathique correspond aux myélomères C3 à L2.
    3. Il existe un ganglion orthosympathique au niveau de C1.
    4. Une lésion à hauteur du 8ème myélomère entraîne un myosis exagéré.
    5. On trouve des rameaux communicants blancs orthosympathiques tout le long du rachis.
53. Le système nerveux organo-végétatif :
    1. Le contingent orthosympathique est sacré et crânien.
    2. Le système orthosympathique est le système du repos.
    3. Les contingents parasympathiques des nerfs crâniens font relais dans des ganglions cervicaux.
    4. Le système parasympathique est responsable d’un myosis.
    5. Le système orthosympathique ferme les sphincters.
54. Le système nerveux organo-végétatif :
    1. Les centres orthosympathiques correspondent aux myélomères C8 à L1.
    2. Le système parasympathique entraîne une tachycardie et une tachypnée.
    3. L système orthosympathique est le système de l’urgence et du stress.
    4. Les centres parasympathiques sont le tronc cérébral et les myélomères S2, S3 et S4.
    5. La 3ème paire de nerfs crâniens fait relais dans le ganglion ptérygo-palatin.
55. Le système nerveux organo-végétatif :
    1. Une lésion de la moelle à hauteur des 1ère et 2ème vertèbres lombaires entraîne des problèmes concernant l’ouverture des sphincters.
    2. La 9ème paire de nerfs crâniens fait relais au niveau du ganglion ciliaire.
    3. La 10ème paire de nerfs crâniens a un important contingent orthosympathique pour tout le corps.
    4. Aucun nerf crânien n’a de contingent orthosympathique.
    5. La 9ème paire de nerfs crâniens contrôle la sécrétion de deux glandes salivaires.
56. Le système nerveux organo-végétatif :
    1. Concernant le système orthosympathique, il y a plus de rameaux communicants gris que de blancs.
    2. Le VII bis contrôle la sécrétion des glandes parotide et sublinguales.
    3. Le IX faire relais dans le ganglion otique.
    4. Le système orthosympathique produit la mydriase.
    5. Le III fait relais dans le ganglion ptérygo-palatin.
57. Le système nerveux organo-végétatif :
    1. Le nerf vague possède un important contingent parasympathique pour tout le corps.
    2. Les ganglions des nerfs crâniens sont également intra-crâniens.
    3. Les centres parasympathiques sont seulement crâniens.
    4. La sécrétion de la parotide est contrôlée par la 9ème paire de nerfs crâniens.
    5. Il y a 31 ganglions pré-vertébraux.
58. Le système nerveux organo-végétatif :
    1. Le ganglion ciliaire s’appelle aussi ganglion ophtalmique.
    2. Les glandes lacrymales sont sous le contrôle du VII bis.
    3. Dans le système orthosympathique, le 1er neurone est long.
    4. Les rameaux communicants gris sont amyéliniques.
    5. Le contingent somatique est porté par les branches ventrales.
59. Le système nerveux organo-végétatif :
    1. Le VII bis fait relais dans le ganglion ptérygo-palatin.
    2. Une mydriase est une diminution du diamètre pupillaire.
    3. Tous les viscères possèdent une double-innervation ortho- et parasympathique.
    4. Tous les nerfs crâniens ont un contingent somatique.
    5. Il existe un rameau communicant gris à chaque étage.
60. Le système nerveux organovégétatif :
    1. Les centres sacrés donnent l’innervation parasympathique du pelvis.
    2. Le nerf oculo-moteur fait relais dans le ganglion ciliaire.
    3. Les centres orthosympathiques correspondent aux myélomères C8 à L1.
    4. Le 2ème neurone orthosympathique est court.
    5. Le 2ème neurone parasympathique est court.
61. Les grandes voies :
    1. L’aire motrice primaire est située dans le gyrus pré-central.
    2. La partie médiale de l’aire motrice primaire est la zone correspondant au pied.
    3. Les voies pyramidales sont sensitives.
    4. La sensibilité extéroceptive renseigne sur le milieu intérieur.
    5. La voie protopathique est celle du tact fin.
62. Les grandes voies :
    1. La voie épicritique correspond à la voie extra-lemniscale.
    2. Les voies proprioceptives sont toutes conscientes.
    3. Seules les afférences conscientes gagnent le cortex cérébral.
    4. Il existe des voies de la motricité inconsciente.
    5. Les voies de la sensibilité consciente se terminent dans le gyrus précentral.
63. Les voies motrices :
    1. Elles sont pyramidales ou extra-pyramidales.
    2. Une lésion de la moelle épinière thoracique entraîne une paralysie contro-latérale.
    3. La voie pyramidale passe par la capsule extrême.
    4. L’axone qui provient du gyrus pré-central passe par le tronc cérébral avant de rejoindre la moelle épinière.
    5. La voie pyramidale fait relais avec le motoneurone dans la corne dorsale de la moelle épinière.
64. Les voies motrices :
    1. .Le volume du pont entraîne la dissociation des tractus cortico-nucléaire et cortico-spinal.
    2. La décussation se fait à la partie supérieure de la moelle allongée.
    3. Le tractus cortico-spinal est celui qui ne rejoint pas la moelle épinière.
    4. 90% des fibres nerveuses décussent dans la partie inférieure de la moelle allongée et passent dans le cordon ventral contro-latéral.
    5. Les 10% de fibres nerveuses qui ne décussent pas dans la partie inférieure de la moelle allongée restent dans le cordon latéral de la moelle épinière.
65. Les voies motrices :
    1. Les fibres efférentes se rejoignent à la face dorsale du tronc cérébral.
    2. Les fibres qui ont décussé font relais avec le motoneurone contro-latéral.
    3. Au final, c’est l’hémisphère gauche du cerveau qui commande la partie droite du corps car
       les 10% de fibres nerveuses qui n’ont pas décussées dans la partie inférieure de la moelle
       allongée font relais avec un motoneurone contro-latéral à l’étage qu’elles innervent.
    4. Une lésion du cerveau à gauche peut entraîner des troubles moteurs droits.
    5. Une lésion du cordon ventral droit peut entraîner des troubles moteurs droits.
66. Les voies motrices :
    1. La voie extra-pyramidale correspond à la motricité automatique.
    2. Une lésion du cordon latéral droit peut entraîner des troubles moteurs droits.
    3. Une atteinte de la voie extra-pyramidale entraîne une paralysie pour les gestes courants.
    4. La voie extra-pyramidale peut être formée de trois neurones formant une boucle.
    5. La boucle extra-pyramidale est dite cortico-sous-cortico-corticale.
67. Les voies afférentes :
    1. Il existe 4 types d’afférences : protopathique, épicritique, proprioceptive consciente et proprioceptive inconsciente.
    2. La douleur est véhiculée par la voie épicritique.
    3. La voie proprioceptive consciente suit le même trajet que la voie protopathique.
    4. La voie épicritique est dite lemniscale.
    5. La voie épricritique décusse dans la moelle épinière.
68. Les voies afférentes :
    1. Dans la voie protopathique, le protoneurone fait relais avec le deutoneurone au niveau de la corne dorsale de la moelle épinière.
    2. Dans toutes les voies, le deutoneurone décusse.
    3. Le 3ème neurone atteint le cortex dans toutes les afférences.
    4. La voie épicritique fait relais dans la corne dorsale de la moelle épinière.
    5. Le tractus de la voie épicritique est dit spino-thalamique.
69. Les voies afférentes :
    1. Le neurone thalamo-cortical relie le thalamus au cortex cérébral.
    2. Toutes les afférences passent par le ganglion dorsal spinal.
    3. Le ganglion dorsal spinal est aussi un ganglion du SNOV.
    4. La voie épicritique reste dans le cordon dorsal et forme les tractus gracile et cunéiforme.
    5. Le tractus cunéiforme est médial par rapport au gracile.
70. Les voies afférentes :
    1. Dans la voie épicritique, le corps cellulaire du deutoneurone se trouve dans la moelle
       épinière.
    2. Le 3ème neurone ne décusse jamais.
    3. La voie proprioceptive inconsciente faire relais au niveau de la corne dorsale.
    4. Le tractus spino-cérébelleux est celui de la voie protopathique.
    5. Les tractus gracile et cunéiforme se trouvent dans le cordon ventral de la moelle épinière.
71. Les voies afférentes :
    1. La voie de la douleur se trouve dans le cordon ventral de la moelle épinière.
    2. Une lésion du cordon dorsal endommage au moins deux types de voies afférentes.
    3. La voie proprioceptive inconsciente se termine dans le cortex cérébral.
    4. Le tractus spino-cérébelleux occupe le cordon latéral.
    5. La voie du tact fin décusse au niveau du tronc cérébral.
72. Les grandes voies :
    1. Toutes les afférences atteignent ou passent par le thalamus.
    2. Une lésion des cordons ventraux et latéraux de la moelle épinière interrompt les afférences de la voie lemniscale.
    3. Une lésion des cornes dorsales de la moelle épinière a des conséquences motrices.
    4. Une lésion des cornes ventrales de la moelle épinière a des conséquences sensitives.
    5. La voie proprioceptive inconsciente est la seule à faire relais dans le cervelet.