- LE SURSIS EST UNE MESURE :
- QUELLES SONT LES DIFFERENTES CATEGORIES DE SURSIS ? :
- QUELLES SONT LES CONDITIONS D’OCTROI DU SURSIS AVEC MISE A L’EPREUVE :
- LA PERIODE DE SURETE PEUT ETRE:
- CITEZ LES PEINES PRIVATIVES DE LIBERTE :
- QUELLES SANCTIONS PEUVENT ETRE CUMULEES AVEC L’EMPRISONNEMENT ? :
- LE JUGE D’INSTRUCTION EST SAISI PAR ? :
- LE JUGE DES LIBERTES ET DE LA DETENTION INTERVIENT EN MATIERE DE :
- LE JUGE DES LIBERTES ET DE LA DETENTION PEUT DECERNER UN MANDAT DE DEPOT A L’ENCONTRE DE :
- QUELS SONT LES POUVOIRS DU JUGE D’INSTRUCTION ? :
- LA RECIDIVE SUPPOSE DEUX TERMES, QUELS SONT-ILS ? :
- CONFORMEMENT AU C.P.P, LE CASIER JUDICIAIRE ENREGISTRE LES INFORMATIONS CONCERNANT LES :
- LE CONTROLE JUDICIAIRE CONCERNE LES CONDAMNATIONS PRONONCEES PAR :
- QUEL EST LE BUT DES PERQUISITIONS :
- CITEZ LES OBLIGATIONS DE L'O.P.J. ENVERS LE PROCUREUR DE LA REPUBLIQUE ? :
- CONSTITUE UNE REBELLION LE FAIT DE :
- L’ATTEINTE ARBITRAIRE A LA LIBERTE INDIVIDUELLE NECESSITE :
- L’ATTEINTE A L’INVIOLABILITE DU DOMICILE NECESSITE :
- QUELS SONT LES ARTICLES QUI REGISSENT LA COMPETENCE TERRITORIALE DES OPJ ? :
- L’O.P.J SE TRANSPORTANT EN FLAGRANT DELIT DANS UN TGI LIMITROPHE :
- le sursis est une mesure qui :
- le but du sursis est :
- Le sursis simple peut être accordé par :
- L’infraction de corruption active
- Les attributions du ministère public sont :
- Les grands principes du droit français sont :
- Parmi les textes cités, indiquez ceux qui sont une source du droit français :
- Le procureur de la République est compétent :
- L’empoisonnement est une infraction constituée :
- Quels sont les grands principes régissant l’élément légal de l’infraction ?
- Le sujet actif dans l’action civile est :
- Parmi les textes cités, indiquez ceux qui sont une source du droit pénal :
- Le procureur général est un magistrat qui :
- Le tribunal correctionnel connaît les infractions :
- Les attributions du ministère public sont :
- Les grands principes du droit français sont :
- La cour d’assisses se compose de :
- Le président du tribunal correctionnel a compétence pour
- un des éléments constitutifs de la complicité est :
- Les conditions de la tentative punissable sont :
- En vertu du principe de légalité, il faut nécessairement un texte de loi à l’origine d’une infraction ou d’une sanction. Ce principe possède un sens dit formel qui renvoie en fait à l’étude des sources du droit pénal. Parmi les sources du droit pénal, on retrouve :
- En droit pénal, on classe les infractions selon une hiérarchie.
- Chaque type d’infractions fait l’objet d’un renvoi devant des juridictions compétentes. Les crimes sont de la compétence des Cours d’Assises. Quelles sont les juridictions compétentes pour les délits et les contraventions ?
- Lorsque le juge applique la loi, il doit en faire lecture selon :
- Les juridictions pénales de droit commun possèdent une compétence pour juger, conformément à la loi pénale française :
- Une loi nouvelle qui entre en vigueur entre la commission d'une infraction et son jugement définitif est applicable :
- Compte tenu de la nature répressive du droit pénal et son impact sur les libertés individuelles, la norme pénale est largement encadrée par différents contrôles. Par exemple, les parties peuvent contester la validité d’un règlement (exception d’illégalité) ou d’un texte ne respectant pas une norme supranationale (contrôle de conventionnalité). Plus récemment, une nouvelle procédure de contrôle de validité de la norme a été instaurée. Il s’agit :
- Une même personne commet plusieurs faits matériels susceptibles de qualifications pénales différentes, sans que celles-ci soient séparées par une condamnation définitive. On parle alors de cumul d’infractions. Dans ce cas, le juge retient :
- La prescription est un mode d’extinction de l’action publique. Passé un délai, l’action publique ne pourra plus être déclenchée et l’infraction poursuivie. Ce délai varie en fonction du type d’infractions. Quels sont les délais de droit commun ?
- Le droit pénal repose sur un principe fondamental affirmé dès 1764 par BECCARIA dans son ouvrage « Traité des délits et des peines ». Il est aussi connu sous l’adage latin « Nullum crimen, nulla pena, sine lege ». On doit évidemment parler :