QCM ANATOMIE GENERALITES

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1. Anatomie :
   
   1. « Anatomie » vient d’un terme grec signifiant « couper à travers ». C’est l’étude du corps
      humain du point de vue macro ou microscopique.
   2. L’anatomie microscopique correspond à l’histologie.
   3. La position anatomique est sujet debout, le regard droit, les bras le long du corps, la
      paume des mains vers l’avant.
   4. L’axe de la main passe par le 2ème doigt, celui du pied par le 3ème orteil.
   5. Le plan sagittal coupe le corps en deux parties strictement identiques.
2. Vocabulaire anatomique :
   
   1. Les trois axes sont perpendiculaires entre eux deux à deux. Il en est de même pour les
      trois plans.
   2. L’axe vertical relie le vertex et le pelvis.
   3. L’axe sagittal traverse le corps de droite à gauche.
   4. Postérieur est le synonyme de dorsal, antérieur celui de ventral.
   5. Le plan sagittal est parallèle au front.
3. Vocabulaire anatomique :
   1. Le plan sagittal qui passe par l’axe du corps est dit « sagittal médian » les autres plans
      sagittaux sont dit « para-médians ».
   2. Un plan frontal passant par l’axe du corps est dit « plan coronal ».
   3. Dans les coupes scanner, la droite est sur la droite du cliché.
   4. On regarde la coupe par au-dessus dans une coupe anatomique.
   5. L’axe transversal peut être inclus dans un plan frontal.
4. Vocabulaire anatomique :
   
   1. Ce qui est latéral est plus proche du plan sagittal médian que ce qui est médial.
   2. Médial et interne sont synonymes.
   3. Le segment distal d’un membre est proche de sa racine.
   4. Ce qui est caudal est plus proche du sol par rapport à un élément dit crânial.
   5. Interne et profond sont synonymes.
5. Vocabulaire anatomique :
   1. Ce qui est latéral est éloigné de l’axe du corps par rapport à ce qui est médial.
   2. On pourra dire des groupes musculaires qu’ils sont internes ou externes.
   3. Une cavité a une paroi interne et une paroi externe.
   4. L’axe sagittal est celui de la flèche sur sa cible.
   5. Il existe différentes anatomies : descriptive, topographique et fonctionnelle.
6. Ostéologie :
   1. Le corps humain comporte 600 os.
   2. Les ceintures relient le squelette axial (thorax, rachis) au squelette appendiculaire
      (membres thoracique et pelvien).
   3. La ceinture scapulaire permet plus de mobilité que la ceinture pelvienne.
   4. « Membre thoracique » est synonyme de « membre supérieur », « membre pelvien » est
      synonyme de « membre inférieur ».
   5. On décrit trois types d’os : court, plat et long.
7. Ostéologie :
   1. Un os plat a une diaphyse et deux épiphyses.
   2. La diaphyse des os long est généralement triangulaire à la coupe.
   3. Les os courts forment souvent des assemblages qui permettent une grande finesse de
      mouvement.
   4. Les os plats sont retrouvés dans le squelette appendiculaire.
   5. Les os pneumatiques contiennent des cavités remplies d’air, comme les sinus par exemple.
8. Les os long :
   1. La diaphyse a une section d’autant plus importante que les contraintes subies sont fortes.
   2. L’humérus a une section de diaphyse supérieure à celle du fémur.
   3. Les courbures de la diaphyse augmentent la résistance aux forces pressantes.
   4. Leur diaphyse est creusée au centre par un canal contenant de la moelle osseuse rouge
      hématopoïétique.
   5. L’évasement de l’épiphyse augmente la composante stabilisatrice de l’action musculaire.
9. Ostéologie :
   1. Le vomer est un os pneumatique.
   2. La vertèbre est un os rayonné.
   3. Diaphyse et épiphyse sont des termes destinés aux os long.
   4. L’évasement de l’épiphyse augmente la composante dynamique des muscles.
   5. Les os plats contiennent beaucoup de moelle osseuse rouge.
10. Ostéologie :
    1. L’évasement des épiphyses augmente la surface et diminue ainsi les contraintes de
       pression.
    2. Un os comporte souvent des saillies articulaires comme les crêtes ou tubercules.
    3. Les saillies articulaires font face à une dépression articulaire.
    4. Les dépressions non-articulaires donnent souvent passage à des vaisseaux ou à des nerfs.
    5. Les saillies non-articulaires correspondent souvent à des insertions musculaires.
11. Ostéologie :
    1. La surface osseuse est recouverte par le périoste.
    2. La surface cartilagineuse est recouverte par le périchondre.
    3. La moelle osseuse rouge est surtout située dans les épiphyses des os longs et la diploë des os plats.
    4. La moelle osseuse jaune est hématopoïétique.
    5. L’os est formé par minéralisation calcique d’une trame protéique.
12. La structure d’un os :
    1. Un défaut de calcium entraîne une perte d’élasticité.
    2. La trame protéique est responsable de l’élasticité.
    3. Il existe deux types de tissu osseux : compact surtout dans les diaphyses et les corticales et spongieux.
    4. Le tissu osseux spongieux est exclusivement situé dans les épiphyses.
    5. Dans les os courts, le tissu osseux spongieux prend le nom de diploë.
13. la structure des os :
    1. Un os plat est formé d’une diploë limitée par deux corticales : tables interne et externe.
    2. Les deux types de tissu osseux (compact et spongieux) sont présents dans tous les types d’os.
    3. L’os est une pièce inerte : ni vascularisée, ni innervée.
    4. Il existe des artères diaphysaires, épiphysaires et périostiques pour la nutrition de l’os.
    5. Un os a une double-innervation : sensitive et vasomotrice.
14. L’ossification :
    1. Les os qui subissent de fortes contraintes s’ossifient en passant par un stade de moule
       cartilagineux.
    2. L’ossification enchondrale passe par un moule cartilagineux par opposition à l’ossification membranaire.
    3. L’ossification membranaire intéresse principalement les os longs alors que l’ossification
       enchondrale intéresse les os plats.
    4. L’ossification des os longs débute au centre par la virole osseuse périostique et se dirige vers les extrémités.
    5. Les points d’ossification secondaire apparaissent avant la naissance.
15. L’ossification :
    1. Le cartilage de conjugaison sépare les points d’ossification primaires et secondaires.
    2. Le cartilage de conjugaison est de même nature que le cartilage hyalin.
    3. Le cartilage de conjugaison est radio-opaque.
    4. Tous les os longs ont deux cartilages de conjugaison qui sont tous deux aussi fertiles.
    5. Les épiphyses fertiles sont situées loin du genou et près du coude.
16. L’ossification :
    1. Le cartilage de conjugaison proximal de l’humérus est plus fertile que le cartilage de
       conjugaison distal.
    2. Le cartilage de conjugaison proximal du tibia est plus fertile que celui situé en distal.
    3. Le cartilage de conjugaison proximal du fémur est plus fertile que celui situé en distal.
    4. Le cartilage de conjugaison proximal du radius est moins fertile que celui situé en distal.
    5. Les épiphyses fertiles sont situées près du genou et loin du coude.
17. L’ossification :
    1. La croissance en épaisseur est assurée par le périoste.
    2. Les points d’ossifications servent à repérer l’age osseux.
    3. Le cartilage de conjugaison peut être confondu sur une radio avec une fracture car il est
       radio-transparent et apparaît donc noir.
    4. La loi de Delpech met en évidence que la croissance peut être perturbée par les contraintes extérieures.
    5. L’ossification est achevée à la naissance.
18. Les articulations :
    1. Il existe trois grands types d’articulations : fibreuse, cartilagineuse et synoviale.
    2. Toutes les articulations sont mobiles.
    3. Toutes les articulations possédant du cartilage sont cartilagineuses.
    4. Les symphyses sont des articulations fibreuses.
    5. Il existe trois grands types d’articulations fibreuses : syndesmose, suture et gomphose.
19. Les articulations :
    1. Synchondrose et symphyse sont des articulations cartilagineuses.
    2. Tous les types d’articulations ont une membrane synoviale.
    3. Les articulations fibreuses sont les seules à être dépourvues de cartilage.
    4. Toutes les articulations ayant du cartilage ont une cavité articulaire.
    5. Les articulations fibreuses sont immobiles alors que les articulations cartilagineuses sont
       faiblement mobiles.
20. Les cartilages :
    1. Ils sont vascularisés et innervés.
    2. Ils sont nourris par diffusion d’éléments nutritifs.
    3. Leur usure se fait sans signe douloureux et est irréversible.
    4. Leur hauteur est inversement proportionnelle à l’intensité des forces de pression.
    5. Les couches de cartilage deviennent de plus en plus verticales en allant de l’os vers la
       cavité articulaire.
21. Les articulations synoviales :
    1. Les couches tangentielles superficielles sont adaptées au cisaillement.
    2. Les moyens d’union sont le plus souvent péri-articulaires et respectent la cavité articulaire.
    3. Les forces pressantes vident le cartilage de son eau et diminuent sa hauteur.
    4. Pour augmenter la concordance des surfaces articulaires on peut trouver un autre type de cartilage : le fibrocartilage.
    5. Un ménisque a deux face adhérentes : une à la capsule, une à la surface articulaire .
22. Les articulations synoviales :
    1. Elles sont les seules à posséder du fibrocartilage.
    2. Le labrum a deux faces adhérentes, il est discoïde et triangulaire à la coupe.
    3. Il existe des ménisques annulaires et discoïdes.
    4. La capsule et la synoviale sont propres aux articulations synoviales.
    5. La capsule s’insère plus près des surfaces articulaires que la synoviale.
23. Les articulations synoviales :
    1. Elles sont souvent renforcées par des ligaments passifs : ligaments capsulaires, extra- et intra-capsulaires.
    2. Les ligaments actifs sont en fait des muscles à forte composante stabilisatrice.
    3. Comme les cartilages, les ligaments ne sont ni vascularisés ni innervés.
    4. La synoviale s’insère plus près des surfaces articulaires que la capsule.
    5. La synoviale tapisse la face interne de la capsule.
24. Les articulations synoviales :
    1. La plupart des ligaments intra-capsulaires sont intra-synoviaux.
    2. Des replis de la synoviale peuvent former des franges synoviales.
    3. Un kyste péri-articulaire est la sortie d’une partie de la synoviale hors de la capsule.
    4. C’est la synoviale qui assure la nutrition du cartilage hyalin.
    5. Toutes les articulations synoviales ont trois degrés de liberté.
25. les différentes articulations synoviales :
    1. Une sphéroïde dispose de trois degrés de liberté.
    2. Une ellipsoïde présente deux degrés de liberté.
    3. Articulation en selle et ellipsoïde ont le même nombre de degrés de liberté.
    4. Trochoïde, ginglyme et tenon-mortaise n’ont qu’un degré de liberté.
26. Les articulations :
    1. L’axe sagittal est celui de la rotation.
    2. L’axe horizontal est celui de l’abduction/adduction.
    3. L’axe vertical est celui de la flexion/extension.
    4. L’adduction du bras l’éloigne du tronc.
    5. La circumduction est un mouvement qui associe les trois axes.
27. Les articulations :
    1. Les articulations synoviales planes permettent le glissement.
    2. La capsule et les ligaments sont vascularisés et innervés.
    3. Le périchondre protège les surfaces articulaires.
    4. Une articulation trochoïde possède deux degrés de liberté.
    5. Une articulation en selle peut être fibreuse.
28. Les muscles :
    1. Il existe deux grands types de muscles : les muscles striés et lisses.
    2. Tous les muscles striés sont dépendants de la volonté.
    3. Les muscles lisses sont plus vascularisés que les muscles striés.
    4. Le neuromédiateur de la contraction est l’adrénaline.
    5. Les sphincters lisses sont souvent doublés par des sphincters striés.
29. Les muscles :
    1. Il y en a plus de 600 dans le corps humain.
    2. Il existe des muscles sus- et sous-aponévrotiques.
    3. Les muscles sous-aponévrotiques mobilisent principalement la peau.
    4. Comme pour les os, on distingue des muscles plats, courts et longs.
    5. Un muscle est dit poly-gastrique quand il possède un seul corps.
30. Les muscles :
    1. Le muscle biceps brachial est un muscle à ventres parallèles ou juxtaposés.
    2. Le muscle droit abdominal est un muscle poly-gastrique à ventres en série.
    3. Le muscle grand dorsal est un muscle court.
    4. Les muscles courts sont plutôt superficiels.
    5. Les muscles courts comme le transversaire épineux sont souvent des ligaments actifs.
31. Les muscles :
    1. L’insertion tendino-musculaire penniforme privilégie le déplacement.
    2. La jonction tendino-musculaire bout-à-bout privilégie la force.
    3. La section anatomique est perpendiculaire à la ligne d’action du muscle.
    4. La section mécanique est perpendiculaire aux fibres au niveau de la jonction endinomusculaire.
    5. Il existe aussi une insertion hémi-penniforme .
32. Les muscles :
    1. Dans la jonction tendino-musculaire bout-à-bout, la section mécanique est supérieure à la section anatomique.
    2. Dans la jonction penniforme, la section anatomique est supérieure à la section mécanique.
    3. Il existe des récepteurs dans les tendons qui renseignent en permanence sur le degré
       d’étirement du muscle.
    4. Les tendons sont contractiles.
    5. Le muscle inséré est à sa longueur d’équilibre.
33. Les muscles :
    1. La longueur d’équilibre est supérieure à la longueur de repos.
    2. Le raccourcissement du muscle peut atteindre 30%, le raccourcissement du corps seul
       atteint 50%.
    3. La longueur de rupture correspond à trois fois la longueur de repos.
    4. Le muscle biceps a une forte composante stabilisatrice.
    5. Le muscle brachio-radial a une forte composante dynamique.
34. Les muscles :
    1. La composante dynamique augmente d’autant plus que le muscle s’insère près de
       l’articulation.
    2. Deux muscles synergiques se contractent en même temps.
    3. Deux muscles antagonistes ne peuvent être synergiques.
    4. La composante stabilisatrice augmente d’autant plus que le muscle s’insère loin de
       l’articulation.
    5. Un muscle poly-articulaire est un muscle qui ne mobilise qu’une articulation.
35. Les muscles :
    1. Deux muscles agonistes concourent au même mouvement.
    2. Les muscles concentrent une importante partie du sang et du sucre de l’organisme.
    3. Une unité motrice est l’ensemble des fibres musculaires commandées par une même fibre nerveuses.
    4. Les unités motrices de l’oeil sont de plus grande taille que celles de la fesse.
    5. Les muscles lisses sont sous le contrôle du système nerveux autonome.
36. Les muscles :
    1. La longueur de repos est supérieure à la longueur d’équilibre.
    2. Le diaphragme a une motricité consciente et automatique.
    3. Les muscles abdominaux (obliques interne et externe, transverse) sont des muscles plats.
    4. Les muscles courts ont un important rôle dynamique.
    5. Les muscles sus-aponévrotique mobilisent la peau.
37. Les muscles :
    1. Les muscles striés sont plus riches en sang que les muscles lisses.
    2. La contraction comporte une phase isométrique et une phase isotonique. C’est pendant
       cette dernière que le muscle se raccourcit.
    3. Deux muscles synergiques peuvent être antagonistes.
    4. Deux muscles synergiques concourent au même mouvement.
    5. La jonction tendino-musculaire penniforme privilégie la force.
38. Le rachis :
    1. Il est composé de 24 vertèbres mobiles, du sacrum et du coccyx.
    2. La hauteur d’une vertèbre diminue de l’étage cervical à l’étage lombal.
    3. Il existe 8 vertèbres cervicales.
    4. On dénombre 12 vertèbres thoraciques et 5 lombaires.
    5. Le rachis est normalement rectiligne dans un plan sagittal.
39. Le rachis :
    1. Il présente trois courbures sur le plan sagittal.
    2. Il existe des courbures physiologiques dans le plan frontal.
    3. Il comporte deux cyphoses et une lordose.
    4. Une cyphose est convexe en avant.
    5. La cyphose est thoracique, les lordoses sont cervicale et lombaire.
40. Le rachis :
    1. Les cyphoses peuvent être physiologiques ou pathologiques.
    2. La scoliose est une courbure du rachis dans le plan sagittal.
    3. Une vertèbre est un os court rayonné.
    4. Toutes les faces d’une vertèbre sont convexes.
    5. La face dorsale du corps vertébral limite en arrière le foramen vertébral.
41. Les vertèbres :
    1. La face supérieure présente une surface criblée entourée par un bourrelet.
    2. Les lames vertébrales limitent en arrière le foramen inter-vertébral.
    3. L’articulation entre les corps vertébraux est synoviale.
    4. Les pédicules s’insèrent sur la face ventrale des corps vertébraux.
    5. Les pédicules portent des processus articulaires : les zygapophyses .
42. Les vertèbres :
    1. Les articulations zygapophysaires sont cartilagineuses.
    2. La surface criblée et une partie du bourrelet sont recouvertes de cartilage.
    3. Les lames vertébrales sont directement en liaison avec le spondyle (corps vertébral).
    4. Les lames se rejoignent en dorsal, où prend naissance le processus épineux.
    5. Les processus transverses partent de la jonction pédicule-lame.
43. Les vertèbres :
    1. Les articulations zygapophysaires à l’étage thoracique sont des synoviales planes.
    2. L’incisure caudale des pédicules est plus importante que l’incisure crâniale.
    3. Les incisures des pédicules limitent le foramen inter-vertébral.
    4. Les lames sont orientées en bas et en dedans.
    5. Le diamètre du foramen vertébral est supérieur à la partie crâniale d’une vertèbre qu’à sa
       partie caudale.
44. Le rachis :
    1. Chaque articulation n’est que peu mobile mais l’ensemble donne une grande amplitude de mouvement au rachis.
    2. Les faces latérales des processus épineux et les faces dorsales des lames et processus transverses délimitent les gouttières vertébrales.
    3. Les gouttières vertébrales donnent passage à la moelle épinière.
    4. Les foramens vertébraux et inter-vertébraux donnent passage à des éléments nerveux, les gouttières vertébrales à des éléments musculaires.
    5. Les trois courbures dans le plan frontal augmentent la solidité du rachis.
45. Le rachis :
    1. La cyphose cervicale est convexe en avant.
    2. Une courbure sur le plan frontal est une scoliose.
    3. Le bourrelet se situe en dedans de la surface criblée.
    4. Les lames sont reliées aux corps par interposition des pédicules.
    5. Foramen vertébral et intervertébral désignent le même élément anatomique.
46. Le rachis :
    1. Les gouttières vertébrales forment une importante loge musculaire.
    2. Au niveau du pédicule, l’incisure crâniale est plus marquée que l’incisure caudale.
    3. Les lames sont orientées en bas et en dehors.
    4. La base des processus transverses est exclusivement portée par les pédicules.
    5. La vertèbre-type comporte deux processus transverses et un processus épineux.
47. Le rachis :
    1. La vertèbre protège la moelle osseuse et contient la moelle épinière.
    2. Ses trois courbures multiplient par dix sa résistance aux forces pressantes.
    3. Les pédicules sont des limites du foramen vertébral.
    4. Le foramen intervertébral donne passage aux nerfs spinaux.
    5. Le foramen vertébral est limité par la face dorsale des lames.
48. Le système vasculaire :
    1. Le coeur est un muscle creux qui correspond au centre du système cardio-vasculaire.
    2. Le sang est un milieu de transport de nutriments, de dioxygène, de déchets et d’hormones.
    3. La lymphe est dépourvue de globules rouges.
    4. Le sang ne contient que des globules rouges.
    5. Le coeur comporte 4 cavités : deux atriums et deux ventricules.
49. la circulation sanguine :
    1. Il existe deux circulations : la grande ou systémique et la petite qui permet l’hématose.
    2. La petite circulation est la circulation systémique.
    3. Le système artériel voit son diamètre augmenter de son origine vers la distalité.
    4. Un système porte est un système capillarisé à ses deux extrémités.
    5. Le système veineux voit son diamètre augmenter vers sa terminaison.
50. La circulation :
    1. La pression est plus forte au pôle artériel qu’au pôle veineux.
    2. La circulation systémique part du ventricule droit pour se terminer à l’atrium gauche.
    3. Le sang est cardiofuge dans les artères.
    4. La grande circulation part du ventricule gauche pour se terminer dans l’atrium droit.
    5. Le sang des veines est cardiopète.
51. La circulation :
    1. On peut distinguer un coeur droit et un coeur gauche qui communiquent directement.
    2. La circulation droite part des capillaires veineux tissulaires pour se terminer par les
       capillaires artériels pulmonaires.
    3. Les vaisseaux lymphatiques sont moniliformes.
    4. La circulation lymphatique est une circulation parallèle de retour.
    5. La circulation gauche part des capillaires veineux pulmonaires et se termine aux
       capillaires artériels tissulaires.
52. Les vaisseaux sanguins :
    1. A l’inverse des vaisseaux lymphatiques ils sont de calibre régulier.
    2. Ils possèdent 3 tuniques qui sont, de dehors en dedans : intima, média et adventice.
    3. Les artères ont un trajet souvent rectiligne est passent par les plis de flexion des membres.
    4. Il existe des artères sinueuses comme dans l’utérus.
    5. L’intima est la tunique fibreuse.
53. Les vaisseaux :
    1. Dans leurs territoires d’origine, les veines sont plus nombreuses que les artères.
    2. Les collatérales peuvent être à angle aigu, droit ou récurent.
    3. Sans système anastomotique, la vascularisation est dite « terminale ».
    4. Les nerfs de la média lui parviennent en traversant l’intima.
    5. A tous les niveaux il y a plus de veines que d’artères.
54. Les vaisseaux :
    1. Les vaisseaux qui traversent l’adventice pour vasculariser la média sont les
       « vasavasorum ».
    2. Les veines sont plus profondes que les artères.
    3. On retrouve les mêmes types d’anastomose au niveau veineux et artériel.
    4. Les veines sont moins élastiques que les artères.
    5. La média des veines présente des valvules.
55. Les vaisseaux :
    1. Tous les vaisseaux ont trois tuniques.
    2. Il existe des veines profondes et superficielles.
    3. Les veines superficielles suivent les artères.
    4. Les veines superficielles sont sus-aponévrotique, elles traversent l’aponévrose pour
       rejoindre les veines profondes à des endroits précis.
    5. Dans le crâne, certains vaisseaux n’ont pas de paroi propre et sont directement enveloppés
       par la pachyméninge (dure-mère).
56. Les vaisseaux :
    1. Ils peuvent être reliés entre eux par des anastomoses.
    2. Dans les anastomoses par inosculation, les vaisseaux forment une arcade.
    3. L’anastomose par convergence fait passer de deux vaisseaux-pères à un seul vaisseau-fils.
    4. Des veines émissaires sont retrouvées dans les anastomoses pléxiformes.
    5. Un canal d’union est une anastomose qui relie deux vaisseaux entre eux.
57. Les vaisseaux :
    1. Il existe deux types d’anastomoses artério-veineuse : les canaux de Suquet et les glomi de Masson.
    2. Les glomi de Masson sont plus proche de l’étage capillaire que les canaux de Suquet.
    3. Les glomi de Masson sont dotés de sphincters.
    4. On trouve des canaux de Suquet au niveau des extrémités des membres.
    5. La petite circulation via les poumons, décharge le sang en CO2 et le charge en O2.
58. Le système nerveux :
    1. On distingue le système nerveux central et le système nerveux périphérique.
    2. On distingue le système nerveux cérébro-spinal (vie de relation) et le système nerveux
       organo-végétatif (vie interne).
    3. Le système nerveux cérébro-spinal correspond au système nerveux central.
    4. Le système nerveux organo-végétatif correspond au système nerveux périphérique.
    5. Le système nerveux périphérique est le câblage qui relie le système nerveux central aux
       organes effecteurs.
59. Le système nerveux :
    1. Le SNCS et le SNOV utilisent les mêmes systèmes nerveux central et périphérique.
    2. Dans le SNCS, on distingue des neurones pré- et post-ganglionnaires.
    3. Dans le système orthosympathique, les ganglions sont proches des viscères.
    4. Dans le système parasympathique, les ganglions sont proches du rachis.
    5. Dans le système parasympathique, le 1er neurone est long et le 2ème est court.
60. Les neurones :
    1. Ils sont composés d’un corps et de prolongements cytoplasmiques.
    2. L’influx nerveux remonte de l’axone vers le corps cellulaire.
    3. Le corps cellulaire est toujours étoilé.
    4. L’axone réalise une arborisation terminale à son extrémité distale.
    5. Le tissu nerveux est un tissu fragile qui est toujours protégé par la névroglie.
61. Le tissu nerveux :
    1. Les cellules de la névroglie sont les cellules gliales.
    2. La substance blanche contient des corps cellulaires et des axones.
    3. Le système nerveux périphérique peut contenir de la substance grise.
    4. Comme les corps neuronaux sont souvent organisés en couches, la substance grise
       contient les corps mais aussi une partie des axones.
    5. La substance blanche ne comporte pas de corps neuronaux.
62. La névroglie :
    1. Elle protège et nourrit les neurones.
    2. Un même axone peut être myélinisé par endroits et amyélinique ailleurs.
    3. L’épaisseur de la gaine de myéline peut varier selon les endroits pour un même axone.
    4. La cellule gliale du système nerveux périphérique est la cellule de Schwann.
    5. Les astrocytes et les oligodendrocytes sont présents dans le système nerveux central.
63. Névroglie :
    1. Un axone myélinisé permet une conduction de proche en proche de l’influx nerveux.
    2. Un oligodendrocyte peut myéliniser plusieurs axones.
    3. Les astrocytes protègent les corps cellulaires.
    4. La conduction de proche en proche est plus rapide que la conduction saltatoire.
    5. La conduction saltatoire s’effectue entre les noeuds neurofibrillaires laissés libres par la
       gaine de myéline.
64. La névroglie :
    1. Une cellule de Schwann peut protéger plusieurs axones mais ne peut en myéliniser qu’un
       seul.
    2. La myéline est une substance lipidique, isolante, formée par des replis membranaires.
    3. Dans le système nerveux périphérique, les axones myélinisés passent à travers le
       cytoplasme de la cellule de Schwann.
    4. Un astrocyte peut myéliniser plusieurs axones.
    5. La myélinisation augmente la vitesse de conduction de l’influx nerveux.
65. Le système nerveux :
    1. Dans le système nerveux orthosympathique, le 1er neurone est court et le 2ème long.
    2. Dans le SNCS, c’est un seul et même neurone qui relie le système nerveux central à
       l’effecteur.
    3. Le système nerveux périphérique peut contenir des corps cellulaires.
    4. Les neurones ont une activité seulement électrique.
    5. Le SNOV est indépendant de la volonté.
66. Les neurones :
    1. Un neurone afférent fait arriver un influx à un point de référence.
    2. Un neurone efférent envoie un influx à partir d’un point de référence.
    3. Si on se place par rapport au ganglion rachidien, le 1er neurone est efférent, le 2ème
       afférent.
    4. Si on se place dans le système nerveux central, les deux neurones du SNOV sont efférents.
    5. L’influx nerveux va toujours du corps cellulaire vers l’arborisation terminale de l’axone.
67. Les neurones :
    1. Le pôle récepteur est formé par les dendrites, le pôle émetteur par l’axone.
    2. Un neurone peut survivre si on détruit toutes ses cellules gliales.
    3. Ils sont toujours myélinisés.
    4. La gaine de myéline correspond à un obstacle qui diminue la vitesse de conduction.
    5. Ils font tous relais dans un ganglion.